SOS Cahier des Charges

Un cahier des charges ? Un modèle ? Des exemples ?
…C’est par ici !

Cahier des charges Modèle = Bouée de sauvetage
Lancez nous votre SOS, nous avons des bouées : coachs, modèles de cahier des charges.. cliquez ici et contactez-nous

Mais aussi Relecture ? Plan ? Entraide ? Question ? Formation ? Vous pouvez bénéficier d’un matelas d’expériences en cahier des charges et livrables associés : Études d’opportunité, Expressions des besoins, Spécifications fonctionnelles, Benchmarking, Cahier, scénari et PV de recette …

Fiabilisez ultra rapidement (2H)

Nous sommes dans un monde de plus en plus exigeant. Il est temps de s’entraîner à la fiabilité d’écriture ! Et devinez ce qui arrive à ceux qui réussissent leurs projets 😀 :-$$$$ ?

Nous constatons que notre passion pour les documents de conception tels qu’un cahier des charges bien conçu peut servir à d’autres. Alors, nous délivrons bien plus qu’un modèle : nous tunons, optimisons, concevons et même ré-écrivons avec vous ce qui fera réussir votre projet. Car oui, un cahier des charges a une valeur ajoutée et c’est bien ce que l’on aime fabriquer chez cahierdescharges.fr. Nos premiers clients ont leur fournisseurs ravis, leur hiérarchie aussi, je ne m’inquiète pas pour leur progression dans l’entreprise… 😉

« Ce que l’on conçoit bien s’énonce clairement, et les mots pour le dire arrivent aisément. »

Nicolas Boileau

Pourquoi faire appel à SOS CDC ?

1) cumulant près de 30 ans d’expériences à 2, nous sommes des professionnels des cahiers des charges

2) nous sommes certifiés par des organismes internationaux en gestion de projets (IPMA) et analyse des métiers (BA/aMOA : IREB)

3) nous ne vous prenons que 2h de votre temps et vous constaterez vous-même ce que nous sommes capables de réaliser sur votre cahier des charges en si peu de temps.

4) nous avons tous deux été formés par www.telys.com, entreprise de plus de 20 ans spécialisée dans l’analyse métier et les cahiers des charges. Nous avons fondé ensemble BA.lab, un laboratoire dédié à l’optimisation de ce métier.

Attention : Tout ce qui se trouve sur le site s’applique autant à des cahiers des charges qu’à vos écrits de tous les jours : mails, présentations PowerPoint, comptes rendus de réunion… à bon entendeur 😉

Qui suis-je ?

En dix ans, comment je suis passé d’études littéraires à la Direction Générale d’une société de formations et d’outils informatiques dédiés à la Business Analyse : BA.lab.

Les auteurs d’ouvrages de développement personnel le confirment : il n’y a ni chance ni hasard, uniquement des opportunités qui se provoquent et se saisissent. Ainsi, lorsque le Cabinet de conseil Telys (Paris, IX), spécialisé en AMOA (Assistance à Maîtrise d’Ouvrage), ingénierie des exigences et pilotage de projets informatiques, m’a contacté à la fin de l’année 2008 via un site de recrutement, j’ai cru à une erreur. Sans doute que le recruteur avait mal lu mon CV car, d’une, je suis Docteur en Lettres Modernes, pas ingénieur, de deux, je n’avais jusqu’alors jamais travaillé en entreprise mais toujours pour le domaine public, de trois, je ne vivais pas à Paris ou sa proche région et, de quatre, je ne pouvais alors faire valoir aucune expérience ni même connaissance de l’informatique. Pour dire vrai, c’est à peine si je découvrais Internet.

Conversion

C’était pourtant bien ce profil qui avait séduit le Cabinet dont la politique de recrutement m’a toujours paru aussi atypique qu’originale, pariant sur des têtes bien faites plutôt que bien pleines et postulant que l’AMOA est un métier à part entière, qui s’apprend pour peu que l’on soit curieux, motivé et rigoureux. D’ailleurs, lorsque je franchissais la porte des bureaux le 05 janvier 2009 pour entamer ma période d’essai, ce n’était pas en tant que B.A. (Business Analyst) mais comme relecteur (contrôleur qualité des documents livrés si vous préférez) dont la tâche allait être de m’assurer que les livrables (Expressions du Besoin, Cahiers Des Charges, Spécifications Fonctionnelles Générales ou Détaillées, manuels utilisateurs, etc.) produits par les consultants du cabinet répondaient aux critères de qualité de ce dernier. Un poste finalement pas si éloigné de mes compétences car contrôler la justesse de la langue, la progressivité, la cohérence ou encore la clarté ce n’est pas si différent que d’évaluer une dissertation de lycéen si ?

Un peu tout de même. En effet, chaque livrable traitait potentiellement d’un domaine métier différent que je ne connaissais pas, ce qui nécessitait de ma part d’entrer très rapidement dans n’importe quel sujet fonctionnel (banque, assurance, affacturage, billetterie, OPCA, etc.). Je n’étais pas là uniquement pour corriger les coquilles mais bien pour challenger le consultant sur sa compréhension du besoin, mes commentaires devant l’aider à lui-même challenger ses interlocuteurs métiers sur leurs propres besoins. Et pour ce faire, j’ai dû apprendre à utiliser un des outils principaux de la B.A. : la modélisation. Merise, UML, sans être aujourd’hui un spécialiste rompu à toutes les techniques de schématisation, je tire une certaine fierté de savoir lire, faire, corriger et questionner un diagramme de classe, de flux, d’activité ou encore d’état. Et de m’en servir au quotidien pour clarifier les demandes qui me sont faites.

Pendant un an et demi, j’ai occupé ce poste de relecteur tout en devenant peu à peu le formateur AMOA des nouvelles recrues sur les techniques qui définissent l’ADN de Telys : recueillir le besoin, le modéliser, le formaliser et piloter son projet. C’est à cette période que Mikaël et moi avons commencé à travailler ensemble. Nous imaginions puis testions in situ des dispositifs d’apprentissage et d’évaluation des progrès sur chacune des compétences évoquées, si bien que quel que soit le profil du recruté, dès lors que ce dernier avait l’envie d’apprendre, nous en faisions un professionnel de la B.A. et donc des cahiers des charges en général. Et s’il l’était déjà, nous lui donnions les éléments nécessaires à sa progression.

Passage au terrain

Cependant, quelque chose manquait à mon apprentissage : l’expérience du terrain. De 2010 à 2018, j’ai été Consultant à part entière, oeuvrant au sein des projets informatiques des entreprises clientes. Cela m’a permis de réaliser des missions aussi variées que la rédaction de livrables, le pilotage et l’exécution de la recette, du benchmarking, la formation d’utilisateurs finaux, avec toujours le même constat : notre référentiel de bonnes pratiques s’applique à tous les contextes (cycle en V comme Agile), la modélisation systématique est un accélérateur incroyable d’appropriation fonctionnelle et, surtout, j’aurais eu grandement besoin d’un coach externe qui m’aurait aidé à prendre du recul sur les sujets que je traitais, surtout lorsque j’avais la tête dans le guidon et étais dans l’incapacité de prendre du recul.

Formateur

En février 2018, la croissance de Telys m’a permis de reprendre mon poste de formateur, devenant responsable pédagogique de la société, ceci impliquant, outre d’animer des formations à destination des salariés comme des clients, de concevoir de nouveaux dispositifs pédagogiques et de suivre au plus près les progrès de chacun. C’est ainsi que, sur l’impulsion de Louardi Messai, PDG de Telys, est née l’idée de créer une structure dédiée qui nous permettrait de déployer notre outillage et notre savoir-faire.

Entrepreneur Facilitateur

Près d’onze ans après mes débuts dans l’AMOA, je me retrouve donc à la Direction Générale de BA.lab dont on pourrait ainsi résumer la philosophie : simplifier la vie des B.A. en leur proposant des outils facilitateurs pour chacune des tâches qu’ils ont à accomplir au quotidien et les accompagner, grâce à du coaching à distance ou en présentiel, pour partager avec eux nos bonnes pratiques, éprouvées depuis plus de 20 ans au sein du Cabinet Telys. C’est une nouvelle route que j’emprunte, je l’espère longue et peut-être que nous nous y croiserons ?

Bah en fait on est deux 🙂

Hé oui, et là, c’est moi, Mikaël, qui prends le clavier et qui ai peu de choses à ajouter à cette histoire. Je suis tombé dans l’analyse des besoins depuis tout jeune, voyant que les projets étaient ratés tout simplement par manque d’écoute des utilisateurs. Moi qui les fréquentais de près en support, je voyais bien leurs besoins, leurs angoisses et surtout leur déception finale à la livraison des différentes applications. Comment faire pour éviter cela ? Il fallait savoir mieux écrire que les consultants qui venaient car, comprendre leur besoin, je savais le faire.

C’est à travers notre double prisme, l’écriture d’Arnaud et mon système d’analyse des besoins, que nous vous dévoilons les meilleures techniques pour la rédaction de cahiers des charges. De l’idée, l’analyse, les interviews, les ateliers, le brainstorming, à l’écriture, le design, la modélisation, le pilotage, le management de projet, la recette, le chiffrage, les benchmarking et appels d’offres… en exigences ou user stories.

En tout cas, bienvenue et n’hésitez pas à bien commencer en demandant à recevoir notre mini guide gratuit pour démarrer un cahier des charges ! Ce n’est pas (encore) un modèle, c’est une approche qui pose les bases de votre réussite projet.

A très vite,

Arnaud et Mikaël 

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